Étrange paradoxe : ce n’est pas la surface, ni même la déco, qui dicte d’abord le plaisir d’habiter un appartement. C’est l’étage, ce détail qui change tout, du réveil matinal à la vue du soir. Entre piano entêtant venu du dessus, coucher de soleil à portée de canapé ou fuite stratégique devant l’ascenseur bondé, le choix du niveau où l’on ...